MÈCHES NOIRES (GRAND VENT)
Une façade de la rue Saint-Paul laisse jaillir de façon organique d’intrigantes formes tentaculaires, à la fois menaçantes et amusantes. Les fragments de cèdres ondoyants et sensuels s’enchevêtrent au-dessus de nos têtes. Ils évoquent la circulation du vent mais peuvent aussi faire référence à d’hasardeuses fluctuations d’algues, de cheveux, ou au sinueux réseautage du système nerveux.